Aéma Groupe est signataire de la lettre ouverte du CDP – Carbon Disclosure project – pour une meilleure divulgation des données et une plus grande sensibilisation au fléau de la pollution plastique.
46 000 tours Eiffel. C’est l’équivalent du poids total de plastiques produits chaque année dans le monde, selon l’OECD-OCDE qui estime que les déchets plastiques devraient presque tripler d’ici 2060. Pourtant, la pollution causée par le plastique est l’une des plus nuisibles affectant la biodiversité, la qualité des eaux et des sols, jusqu’à la santé humaine via l’exposition à des substances toxiques.
La lutte contre cette menace est un immense défi. Pour le relever, l’un des leviers est d’abord de faire prendre conscience de ce que le plastique peut représenter comme risque écologique, sanitaire et humain avec une meilleure connaissance de son cycle de vie et de son utilisation par les différents secteurs économiques.
Des données cruciales pour les investisseurs et les entreprises. Mieux évaluer les risques et opportunités, comprendre les impacts sur les écosystèmes et les dépendances des entreprises au plastique, c’est l’assurance de meilleures décisions et d’agir pour un avenir plus durable.
En tant qu’investisseur activiste, Aéma Groupe prend naturellement sa part dans ce combat en signant la lettre ouverte du CDP invitant les gouvernements à rendre obligatoire la divulgation des données liées au plastique en l’inscrivant dans un traité mondial Plastics Treaty.
Nous rejoignons ainsi 47 autres acteurs financiers représentant au total 3,5 trillions de dollars d’actifs sous gestion.
Cette signature s’ajoute aux actions renforcées depuis la création d’Aéma Groupe en faveur de la protection de la biodiversité, océan, forêt, énergies renouvelables et à l’engagement des marques Macif, Ofi Invest, Ofi Invest Asset Management contre la pollution plastique dans les océans.
Car nous sommes convaincus que c’est en agissant collectivement que nous nous donnerons les meilleures chances d’atteindre un objectif qu’Aéma Groupe poursuit au quotidien : mettre l’économie au service du vivant.
