Pourra-t-on s’assurer dans 20 ans ? Aéma Groupe livre ses réponses
Cette année et pour la première fois, Aéma Groupe était présent à La Rencontre des entrepreneurs de France (REF), un rendez-vous qui permet à l’ensemble des entrepreneurs français d’échanger, de s’interroger ensemble afin de mieux comprendre notre monde en transition, mais aussi de partager et de s’interpeller sur les défis d’aujourd’hui et de demain.
La Rencontre des entrepreneurs de France (REF) a de nouveau ouvert ses portes les 26 et 27 août derniers en plein cœur de l’Hippodrome Paris Longchamp. Ce rendez-vous incontournable pour les acteurs économiques et décideurs politiques s’est articulé autour de multiples débats et conférences portant sur les enjeux majeurs qui gouvernent notre pays.
Partenaire de l’événement depuis plusieurs années, AÉSIO mutuelle et ses équipes ont accueilli les visiteurs sur leur stand pour parler protection sociale et solutions de santé-prévoyance avec des responsables d’entreprises, des leaders syndicaux et des partenaires. Olivier BRENZA, directeur général d’AÉSIO mutuelle était également sur place pour échanger sur les sujets clés qui animent les entreprises aujourd’hui et partager sa vision sur les évolutions du secteur.
Cette année et pour la première fois, Aéma Groupe était fièrement représenté par Adrien Couret, son directeur général, qui est intervenu dans l’après-midi du mardi 27 août lors d’une table ronde/ débat ayant pour thème l’assurabilité dans 20 ans.
Sinistres climatiques, hausse des dépenses de santé, vieillissement… Les besoins en matière de protection sont croissants. L’assurance est, plus que jamais, devenue un produit de première nécessité et un amortisseur social déterminant. A l’heure où l’exceptionnel devient la norme, comment préserver et faire perdurer ce rôle structurant de l’assurance dans notre société ? La table ronde s’est ouverte par un scénario dystopique qui a transporté par la pensée les parties prenantes jusqu’en 2045 avec une lettre d’un citoyen adressé à son assureur mutualiste qui souhaite résilier son contrat au profit d’une entreprise chinoise.
L’échange a été ouvert par Charles Znaty, président du MEDEF Paris. Aux côtés d’Adrien Couret, ont débattu des intervenants de renom tels que, François Beaume, vice-président de l’AMRAE, Directeur des Risques et des Assurances de Sonepar et Virginie Tournay, directrice de recherche au CNRS et membre de la RED Team.
Lors de son intervention, Adrien Couret a mis en avant l’ensemble des facteurs de tensions actuels qui sont à l’origine des mutations que connaissent nos sociétés. « On constate déjà aujourd’hui une élévation des risques systémiques d’une ampleur extrêmement significative, une interdépendance entre les risques (catastrophes climatiques, vieillissement de la population, cyberattaques, …) tout ceci avec des effets qui ne sont pas toujours anticipés » souligne-t-il.
Il rappelle également que se protéger au quotidien sur des aspects pourtant vitaux coûtera forcément plus cher demain. Ces changements qui se multiplient concluent à la création d’un nouveau modèle qui doit être nécessairement co-construit entre les assureurs, les pouvoirs publics et les collectivités locales. Selon lui, deux enjeux sont à adresser de manière prioritaire et collective : – L’anticipation des risques systémiques et notamment via l’amélioration de la prévention et la réinvention de l’aménagement du territoire. – L’acceptabilité sociale des changements induits par l’augmentation de ces risques.
Cette table ronde a permis d’apporter des éclairages précieux sur les défis et évolutions propres au secteur de l’assurance mutualiste et ainsi de sensibiliser les grands patrons à l’importance de la prévention (auprès de leurs salariés, auprès des pouvoirs publics…) pour anticiper les risques futurs. Elle a aussi permis de rappeler, à travers les propos d’Adrien Couret, le rôle fondamental de l’assureur : accompagner la société dans les multiples transitions auxquelles elle doit faire face.
« Face au changement climatique, l’assurance est contrainte de se réinventer » C’est le titre de l’enquête menée par le média The Good… et un constat partagé par Aéma Groupe, dans le top 5 de l’assurance en France.
En effet, le nombre croissant de sinistres liés au dérèglement climatique remet en cause le modèle classique de l’assurance : le régime « Cat-Nat » peine à tenir le choc et certaines collectivités locales ont d’ores et déjà du mal à s’assurer.
Dans sa dernière édition papier, la revue – dédiée à la transformation environnementale, sociale et sociétale des entreprises et des territoires – s’est entretenue avec Adrien Couret, directeur général d’Aéma Groupe, pour creuser le rôle des assureurs dans la protection de notre avenir commun.
Comment rester au service d’un pacte social ainsi mis à l’épreuve ? Comment mieux travailler ensemble, dans l’anticipation et la prospective ? Quels nouveaux services d’accompagnement et de prévention pour maintenir l’assurabilité des entreprises ?
Des réponses à lire entre les pages 35 et 40 de The Good. Ou résumé sur notre compte Linkedin.
Notre espace Aémag est en ligne !
Nous vous proposons un nouveau média pour défricher, expliquer et éclairer les sujets de fonds qui touchent à la protection. Celui-ci a été pensé et réalisé en collaboration avec toutes les marques du Groupe Macif, AÉSIO mutuelle, Abeille Assurances, Ofi Invest.
Envie de mieux comprendre les enjeux clés qui dessinent l’assurance de demain ?
Au sommaire de cette première édition numéro intitulé « Épargne et sens » : Des décryptages sur le rôle clé des investisseurs dans la protection de l’environnement et comment les assureurs accompagnent les transitions écologiques et sociales. Comment l’épargne peut-elle « faire » sens et contribuer à la protection de l’environnement ? A quels labels se fier pour être sûr de placer son argent de manière éthique ? Comment interpréter les fameux critères « ESG » ? Les investisseurs ont ils un rôle à jouer dans la santé de nos océans ?
Toutes les réponses sont à découvrir dès maintenant pour tout comprendre des aspects complexes de ces domaines qui influencent notre quotidien !
Répondre aux enjeux climatiques pour mieux protéger
Où est le climat ?
Le 25 juin, Adrien Couret, directeur général d’Aéma Groupe, était interviewé sur Radio Classique sur les enjeux climatiques et les atouts d’Aéma Groupe pour y faire face.
Adrien Couret en a également profité pour rappeler les fondamentaux du mutualisme : « Nous n’avons pas d’actionnaires financiers, pas de dividendes à verser. Chaque euro sert à indemniser et à répondre aux besoins des sociétaires, adhérents et clients. »
Sur le même sujet, il s’exprimait dans l’AGEFI pour promouvoir le positionnement d’investisseur activiste du groupe. En effet, pour Aéma Groupe, acteur majeur de l’assurance protégeant plus de 11 millions de Français, l’écologie est au cœur des enjeux de protection. Et la protection de la population – mission première en tant que groupe d’assurance mutualiste – est indissociable des enjeux climatiques.
Dans son interview pour l’AGEFI, Adrien Couret rappelle que trop de personnes en subissent les conséquences directes, et que les plus modestes en sont les premières victimes.
Cette conviction écologique est constitutive de l’engagement d’Aéma Groupe sur le terrain, en tant qu’assureur activiste, comme dans ses investissements, jusque dans les assemblées générales où nous faisons entendre notre voix et celle de nos millions d’assurés qui nous font confiance.
FIDA : analyse d’Adrien Couret pour La Grande Conversation de Terra Nova-think tank
La nouvelle réglementation européenne sur le partage des données numériques soulève de nombreuses questions pour nos métiers. Menace du modèle de protection assurantiel français ? Dangers pour l’assurabilité des plus vulnérables ? FIDA, un sujet de société décrypté par Adrien Couret, directeur général d’Aéma Groupe pour Terra Nova.
Après sa tribune engagée dans Les Echos, Adrien Couret apporte un éclairage supplémentaire au projet de règlement européen FIDA (Financial Data Access), hautement controversé… à raison !
Pourquoi la protection des données financières des assurés est-elle un double enjeu de souveraineté pour notre industrie européenne et de solidarité entre citoyens ?
Réponse dans La Grande Conversation, revue intellectuelle et politique du think tank Terra Nova
FIDA est également l’un des points saillants du Plaidoyer pour une Europe protectrice, publié par Aéma Groupe auprès des décideurs politiques et parlementaires européens pour solliciter un accord garantissant un traitement éthique et non lucratif des informations personnelles liées à l’assurance.
Aéma Groupe présent au Congrès des 10 ans de l’ESS France
2014-2024 : la loi ESS a 10 ans !
Cette année tous les acteurs de l’ESS, réunis pour l’occasion, ont ouvert les échanges par un message d’alerte sur la nécessité plus que jamais pressante de protéger la démocratie, l’égalité des droits et la justice sociale. Car si depuis 10 ans, l‘ESS a eu un rôle central dans la construction d’une société plus juste équitable et responsable, elle compte bien maintenir et renforcer ce cap pour les 10 prochaines années afin de construire avec les gouvernements des politiques publiques ambitieuses en soutien au développement de l’ESS en France.
Convaincu que les entreprises de l’Économie Sociale et Solidaire jouent un rôle d’amortisseur par temps de crise en proposant une autre manière d’entreprendre et en trouvant des solutions innovantes, Aéma Groupe était présent pour animer la réflexion et coécrire la façon dont l’ESS peut et doit bâtir une économie et une société plus justes, protéger le vivant et renouveler la citoyenneté.
A cette occasion Pascal Michard, président d’Aéma Groupe, est venu partager sa vision du rôle de l’ESS et des enjeux d’avenir qui en découlent dans la plénière « Pour une démocratie qui tient debout ».
Vision prospective et priorités de développement pour les années à venir, découvrez la contribution d’Aéma Groupe aux réflexions du congrès :
Pascal Michard, président d’Aéma Groupe signe une tribune dans Le Monde pour alerter sur notre retard en matière de prévention en santé, qui est pourtant bien la clé de notre avenir collectif !
Comment, alors, expliquer ce décalage ? Comment bâtir une culture française de la prévention ? Pourquoi est-elle indispensable en matière de santé, mais aussi pour garantir plus de résilience face aux catastrophes naturelles ?
Pascal Michard explore les rapports entre solidarité collective et responsabilité personnelle, et dessine des pistes pour que la mutualisation puisse rester cette force protectrice dont nous avons si urgemment besoin.
Aéma Groupe rejoint le Pacte mondial des Nations Unies
Lancé en 2000, le Pacte mondial des Nations Unies, ou United Nations Global Compact, appelle les entreprises du monde entier à adopter des pratiques commerciales socialement responsables et durables. Avec plus de 20 000 membres dans 164 pays, et plus de 2 000 entreprises, le Pacte mondial Réseau France, c’est tout simplement la plus grande initiative internationale de développement durable et de RSE !
En tant que groupe mutualiste et investisseur, nous nous devons d’être doublement responsables. Incarner et promouvoir un développement économique plus éthique, compatible avec un avenir désirable, est au cœur de notre engagement.
Franck Janowsky, Responsable de la RSE Aéma Groupe revient sur cette adhésion : Cette adhésion répond à l’ambition d’agir face au changement climatique et d’anticiper les transitions environnementales, avec pour objectifs principaux d’aligner notre engagement en tant qu’entreprise avec nos exigences en tant qu’investisseur responsable. Nous nous engageons à intégrer le Pacte Mondial et ses principes dans la stratégie, la culture et les opérations quotidiennes d’Aéma Groupe, ainsi qu’à contribuer aux projets de collaboration faisant progresser les objectifs plus larges des Nations Unies. La première communication Aéma Groupe sur le progrès (CoP) est prévue pour avril 2025.
Aéma Groupe dans le top 20 des plus grandes compagnies d’assurance mutualiste du monde
Chaque année, la Fédération internationale des coopératives et mutuelles d’assurance (ICMIF) vient de publier son étude annuelle Global 500, qui met en lumière les plus grandes mutuelles et coopératives d’assurance dans le monde – en termes de chiffre d’affaires.
Trois ans seulement après sa création, Aéma Groupe y figure au 18e rang parmi les 500 acteurs retenus au classement, soit 9 places gravies comparé à 2022 !
Dans le top 5 des assureurs en France et avec 1 Français sur 6 protégé, c’est la force de notre groupe qui est aujourd’hui récompensée : elle nous donne la puissance de créer les conditions d’une protection plus juste et plus accessible pour tous. Mutualiste dans l’âme, activiste par conviction !
Aéma Groupe adresse son plaidoyer aux décideurs européens !
En tant que groupe d’assurance mutualiste – dans le top 5 des acteurs de l’assurance en France et 11,7 millions de personnes protégées, Aéma Groupe entend défendre les intérêts de plus d’1 français sur 6 qui font confiance à ses marques – MacifAÉSIO mutuelleAbeille AssurancesOfi Invest – et peser dans les débats sur l’avenir de la protection telle qu’il se dessine à l’échelle européenne.
Les politiques adoptées dans les prochaines années seront décisives pour lutter contre le changement climatique, la pauvreté ou encore les dangers de santé publique.
Pour anticiper ces risques et protéger au mieux les populations de ces vulnérabilités potentielles grandissantes, des réponses doivent être apportées. Et cela doit passer par une stratégie de long terme qui replace les citoyens au cœur du projet européen et par un engagement des acteurs publics et privés à construire ensemble.
Dans ce plaidoyer, Aéma Groupe partage sa vision d’une Europe qui se met en capacité de :
promouvoir la consommation responsable ;
se mobiliser pour une finance engagée ;
protéger les personnes face aux aléas de la vie ;
s’engager en faveur de la santé environnementale ;
de respecter la diversité des formes d’entrepreneuriat.
Consommer moins est bon pour les finances, mais aussi pour la planète ! Pourtant dans l’industrie automobile, une nouvelle pratique fait son essor qui s’avère nocive à l’environnement comme aux consommateurs : le « Gigacasting ».
Pourquoi ? Car cette « solution » qui consiste à remplacer plusieurs pièces de châssis assemblées par soudage par un seul élément moulé génère au moins trois problèmes conséquents :
– En cas de réparations, c’est beaucoup plus coûteux et le budget de l’automobiliste en paie le prix fort.
– Les réparations sont en fait des remplacements : les pièces ne sont plus réutilisées ni recyclées. Tout est jeté… et contribue au fléau de la pollution planétaire.
– Les matières premières et l’énergie nécessaires à la production de ces giga-pièces sont beaucoup plus importantes que pour les pièces détachées.
La mobilisation globale contre cette pratique incompatible avec la protection de l’environnement commence à porter ses fruits : certains grands constructeurs l’abandonnent. Mais la vigilance reste de mise !
C’est pour cela qu’à l’approche des élections européennes 2024, Aéma Groupe demande que les travaux en cours sur les véhicules hors d’usage (VHU) intègrent des limites à la pratique du gigacasting qui va directement à l’encontre des efforts déployés par l’UE pour encourager la réparabilité et la circularité !