Découvrez le troisième dossier Aémag qui traite du grand sujet de la transition climatique, un défi majeur pour notre société.
Quels sont les principaux obstacles à surmonter ? Quelles sont les perspectives d’avenir ? Comment les acteurs s’engagent-ils sur le terrain ? Et quel rôle pouvons-nous jouer individuellement et collectivement dans cette transformation ?
Aéma Groupe dévoile les enseignements de son Observatoire de la Protection
Près de 2 Français sur 3 se sentent davantage exposés aux risques climatiques ! C’est l’un des enseignements issus du baromètre 2024/2025 de l’Observatoire de la Protection Aéma Groupe, réalisé avec OpinionWay, dont les résultats ont été dévoilés le jeudi 27 mars 2025.
Ce baromètre a une vocation claire : écouter et comprendre les besoins précis des Français pour permettre à Aéma Groupe, à travers ses marques MACIF, AÉSIO mutuelle, Abeille Assurances et Ofi Invest, d’agir au plus juste et d’offrir une protection plus efficace.
Face à une société du risque où les vulnérabilités s’accentuent, Aéma Groupe se penche sur les préoccupations des Français et leur sentiment de protection. Les résultats de son baromètre 2025 révèlent un besoin de sécurité prégnant : 31% ne se sentent pas suffisamment protégés, face aux enjeux climatiques, économiques, sanitaires et géopolitiques. Si le pouvoir d’achat reste la première préoccupation des Français pour la 4ème année consécutive, l’impact des risques climatiques gagne du terrain.
L’étude souligne également une conscience accrue du coût futur de la protection. En effet, quels que soient les appréhensions et les risques identifiés, le baromètre indique que les Français comprennent que se protéger coûtera plus cher à l’avenir, 65% d’entre eux n’étant pas fermés à une hausse du coût de l’assurance, dès lors qu’elle est justifiée par des éléments factuels relevant de préoccupations personnelles, comme l’exposition au risque climatique.
Index égalité femmes / hommes 2025, les chiffres de la SGAM Aéma Groupe
Pour la SGAM Aéma Groupe, la note globale concernant l’égalité femmes / hommes en matière de rémunération est de 81/100.
Depuis la loi « Avenir professionnel » du 5 septembre 2018, les entreprises de plus de 50 salariés sont évaluées sur l’égalité femmes / hommes, en fonction d’un index formalisé par une note sur 100. Cette note prend en compte divers critères permettant d’apprécier la politique de l’entreprise en matière d’égalité femmes hommes tels que :
la suppression des écarts de salaire entre les femmes et les hommes, à poste et âge comparables,
la même chance d’avoir une augmentation pour les femmes que pour les hommes (inclut les augmentations de salaires liées à une promotion),
tous les salariés augmentés à leur retour de congé maternité ou d’adoption dès lors que des augmentations ont été données en leur absence,
au moins 4 salarié(e)s du sexe sous représenté dans les 10 plus hautes rémunérations. Pour la période du 1er janvier au 31 décembre 2024, le détail des indicateurs est :
Compte tenu du résultat de l’Index de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes 2025 (81 points sur 100), les objectifs de progression formalisés en 2024 sont reconduits. Ils portent sur les indicateurs dont la note maximale n’a pas été atteinte :
Écart de rémunération : identifier et analyser les raisons de ces écarts afin de mettre en œuvre des mesures correctives pour les réduire. Les premières mesures ont été présentées et mises en œuvre en octobre 2023.
Dix plus hautes rémunérations : accompagner les femmes dans les niveaux de classification où elles sont sous-représentées en favorisant l’égal accès aux postes à responsabilité et l’accompagnement dans la mobilité professionnelle.
Il est rappelé la signature de l’accord relatif à l’égalité professionnelle en date du 5 avril 2023. Cet accord prévoit les mesures et engagements qui sont mis en œuvre progressivement au sein de l’entreprise.
Adrien Couret parle insécurité climatique et adaptation au micro de France Inter
« On n’arrête pas l’éco », le magazine économique de France Inter, diffusé tous les samedis et animé par Alexandra Bensaid, nous explique les changements du quotidien et met en lumière les tendances et les phénomènes silencieux de l’économie.
Cet entretien a été loccasion de faire la lumière sur les grands sujets de protection dans un contexte périlleux, marqué par la double augmentation à la fois des dépenses de soin et des sinistres climatiques ; deux facteurs qui expliquent, in fine, la hausse des cotisations.
Une intervention incontournable pour comprendre l’évolution des tarifs et identifier des solutions. Adrien Couret s’est donc expliqué sur la hausse inévitable des tarifs des mutuelles, sur le PLFSS (transfert de charges, ..), et a évoqué les grands sujets Santé qui vont jalonner l’année 2025 pour les assureurs.
Il est aussi revenu sur la protection des Français face au dérèglement climatique, l’accélération de la sinistralité climatique et son impact sur le coût de la protection quand les catastrophes naturelles autrefois exceptionnelles deviennent de plus en plus fréquentes.
« Sur les quinze dernières années, la charge climatique en France, pour les assureurs et donc pour les assurés, a doublé. Et on prévoit qu’elle double encore dans les prochaines années. » affirme Adrien Couret lors de son interview.
Face à ces défis, Aéma Groupe continue de prendre position en faveur d’une protection accessible pour tous les Français sur l’ensemble du territoire et interpelle les pouvoirs publics sur la nécessaire adaptation face à l’insécurité climatique (politique de prévention, financement, aménagement des territoires…).
En 2025, Aéma Groupe continue de se mobiliser pour que se protéger reste accessible à tous.
Découvrez le dossier « La prévention » – Aémag #2
Aménager le territoire, encourager l’activité sportive, sensibiliser aux nouvelles mobilités… La prévention se révèle un levier d’action essentiel dans la construction d’une protection adaptée aux défis de demain. C’est cette conviction forte qui a conduit Aéma Groupe à lui consacrer un dossier approfondi dans son tout nouvel Aémag.
L’Aémag, conçu et réalisé collectivement par les marques phares du groupe – MACIF, AÉSIO mutuelle, Abeille Assurances, Ofi Invest – offre un espace d’analyse et de réflexion autour des grandes thématiques de la protection. Avec son deuxième numéro, la publication décortique les multiples facettes de la prévention et son impact sur notre société.
Au sommaire de cet Aémag #2, une exploration riche et diversifiée :
L’éducation et la santé : Quel rôle déterminant joue l’éducation dans l’amélioration de la santé et la promotion des comportements préventifs ?
Les besoins spécifiques des femmes : Comment la prévention peut-elle être adaptée pour mieux répondre aux enjeux de santé propres à la population féminine ?
La sécurité routière : Quels leviers peuvent être mobilisés pour prévenir les accidents de la route et réduire leur gravité ?
La résilience climatique : Comment la prévention contribue-t-elle à renforcer notre capacité à faire face aux conséquences du dérèglement climatique ?
Une culture de la prévention : Plus largement, l’Aémag s’interroge sur les stratégies à mettre en œuvre pour instaurer une véritable culture de la prévention à l’échelle sociétale.
Aéma Groupe vous invite à découvrir ce nouvel Aémag et à vous approprier les enjeux essentiels de la prévention.
Aéma Groupe plus activiste que jamais au regard des enjeux climatiques !
Alors que la COP 29 pour le climat s’est ouverte en Azerbaïdjan le 11 novembre dernier, Adrien Couret, directeur général d’Aéma Groupe, était sur le plateau de l’émission « BFM Climat » de Thomas Sasportas pour répondre à la grande question « Comment assurer une France à +4°C ? ». Cette interview a également été l’occasion pour lui d’alerter sur les raisons pour lesquelles il est urgent de considérer l’enjeu climatique dans sa globalité et de revoir nos modes de gouvernance, au sein des entreprises mais aussi dans nos façons de faire société.
Adrien Couret a à cœur de faire comprendre que le climat est aujourd’hui un sujet de société, un sujet même politique qui touche toutes les populations :
« C’est l’habitabilité de nos territoires qui est en jeu. Nous devons penser, travailler, construire autrement. Et, surtout, collectivement. Or la prise de conscience au niveau public n’a pas eu lieu. Les plans massifs d’adaptation, à long terme, dont nous avons besoin n’existent pas, les espaces de dialogues dans lesquels nous devons les structurer n’existent pas. » affirme Adrien Couret.
C’est aussi l’un des rôles d’Aéma Groupe, d’oser porter les sujets de société au cœur des débats, un groupe d’assurance activiste qui n’hésite pas à mettre et remettre les sujets sur la table, jusqu’à se faire entendre.
Aéma Groupe confirme ses engagements en faveur de la biodiversité
À l’occasion de la COP16 qui s’est déroulée récemment, Aéma Groupe réaffirme ses engagements pour protéger la biodiversité, essentielle à la survie humaine. Parmi ses actions d’investisseur activiste, Aéma Groupe a par exemple rejoint la Finance for Biodiversity Foundation Textile Initiative afin d’inciter l’industrie textile à mieux protéger la vie sur Terre.
Membre actif de la Finance for Biodiversity Foundation depuis 2022, Aéma Groupe s’implique aujourd’hui aux côtés d’autres investisseurs internationaux afin d’inciter les principaux fabricants de textile à davantage prendre en compte la protection de la biodiversité dans leur modèle d’affaire, notamment en s’alignant avec le cadre de référence, le Global Biodiversity Framework.
Un nouvel engagement qui vient compléter ceux déjà pris comme, notamment, la constitution, avec d’autres investisseurs institutionnels français, de fonds d’investissement ciblés biodiversité, le renouvellement de notre soutien à un Plastic Treaty ambitieux ou encore la signature de l’appel contre les forages miniers en eaux profondes deep sea mining.
Être un investisseur activiste, c’est aussi engager le dialogue avec ceux dont les actions ne sont pas (encore) alignées sur les objectifs internationaux de préservation de la biodiversité.
Les marques d’Aéma Groupe vibrent également sur la fréquence de la biodiversité. La preuve ci-dessous par 4 initiatives de finance durable.
L’investissement responsable, ça marche ! C’est à l’occasion de la semaine européenne du développement durable qu’Ofi Invest Asset Management, un chef de file de l’investissement responsable en France, a dévoilé son rapport Article 29, Loi Énergie Climat : il récapitule les actions menées l’an dernier et confirme que les choix de gestion ont un impact réel sur la trajectoire des entreprises détenues en portefeuille. Ofi Invest Asset Management est porté par des valeurs humanistes, par celles du mutualisme de ses actionnaires historiques, et œuvre pour la protection de l’environnement.
Macif Terre & Vivant 50M€ au service de la préservation, la protection et la restauration du vivant. C’est avec la création du fonds « Macif Terre & Vivant » que la marque s’engage à aller plus loin dans ses actions en finançant des activités innovantes autour de cinq thématiques, dont l’alimentation durable, la gestion de l’eau ou encore l’habitat. Le critère ? Avoir une action bénéfique sur les écosystèmes et la sauvegarde de notre biodiversité.
L’éco-solidarité en force Le fonds d’investissement pour financer les acteurs franciliens de l’ESS lancé en avril par Abeille Assurances et INCO Ventures à l’initiative de la Région Île-de-France dévoile la première entreprise soutenue : éthi’Kdo – la carte cadeau écologique et solidaire. Donner une nouvelle dimensions à ces structures à impact positif, telle est la vocation du fonds InvESS !
Champion de la décarbonation AÉSIO mutuelle dévoile dans son rapport ESG sur l’année 2023 une réduction de 56 % de son empreinte carbone financée par rapport à l‘année 2019. L’objectif initial des -50 % à horizon 2030 est donc déjà atteint ! Et motive à aller encore plus loin, en prenant en compte des critères au-delà du financier : climatiques, sociaux, de gouvernance et de préservation de la biodiversité.
Nouvelle tribune d’Adrien Couret parue dans LesEchos.fr
Dans sa tribune sortie dans les Echos.fr intitulée « L’insécurité climatique, une bombe sociale en gestation », Adrien Couret met en lumière les graves conséquencesde la multiplication des catastrophes climatiques. Il souligne que ces événements, devenus plus fréquents et intenses, affectent les populations de manière croissante.
Il aborde notamment la crise de l’assurance, les inégalités croissantes, les limites des assureurs et la nécesité d’un dialogue national impliquant toutes les parties prenantes afin de définir des actions communes face à ce péril croissant. Il conclut en insistants qu’il ne faut pas attendre une catastrophe supplémentaire pour agir !
« L’insécurité climatique, cette bombe sociale en gestation, est en train d’émerger. Chez nous aussi, aucun territoire n’est à l’abri. Les conséquences humaines, économiques et politiques seront majeures – à commencer par la hausse du prix de l’assurance, voire l’inassurabilité de certains risques. Et peut-être, in fine, une France à deux vitesses, entre ceux qui auront les moyens d’être bien protégés… et les autres. »
L’enjeu principal pour Aéma Groupe est de toujours mieux accompagner les Français face aux différents aléas de la vie, notamment en prenant part au débat public, en incitant à développer les dispositifs de prévention, et en appelant les pouvoirs publics à agir sur l’adaptation des territoires face au changement climatique.
Adrien Couret met en exergue le changement de modèle auquel nous assistons et qui nécessite des réponses collectives au-delà du seul rôle des assureurs. Il souligne également l’importance de la protection des Français tant en matière de santé liée au vieillissement de la population, qu’en matière d’assurance dommages lié au changement climatique.
Adrien Couret résume son interview : « Parce que les risques deviennent systémiques, il est nécessaire d’y répondre par la co-construction, au-delà des silos sectoriels. Dans ce jeu, l’assurance a un rôle et un devoir : alerter et décrypter sur la base de sa connaissance et de son expertise du risque. »
Aéma Groupe se mobilise contre le cancer du sein #OCTOBREROSE
Dans le cadre d’Octobre rose, mois de sensibilisation au cancer du sein, et dans une démarche de prévention des risques, Aéma Groupe s’est pour la deuxième année consécutive engagé au côté de la fondation Odysséa. Toutes les marques – Macif, AÉSIO mutuelle, Abeille Assurances, et Ofi Invest – étaient mobilisées sous un même dossard, celui d’Aéma Groupe, en faveur de la recherche contre le cancer du sein. Quelle meilleure motivation pour avaler des kilomètres ?
Un grand bravo aux 300 collaboratrices et collaborateurs d’Aéma Groupe présents à la course Odyssea ! En tant que groupe d’assurance mutualiste engagé pour la santé des femmes, c’est un devoir et un plaisir d’unir ses équipes autour de cette cause d’intérêt général.
Au total, ce sont pas moins de 45.000 participant(e)s dans le bois de Vincennes et partout en France, via les courses à distance connectées Odysséa Paris, qui ont permis de collecter la somme de 1 million d’euros en faveur de la recherche et ainsi soutenir la lutte contre le cancer du sein.
En tant qu’entreprise activiste, nous avons à cœur de favoriser l’engagement autour de projets qui unissent nos marques et qui œuvrent pour des causes d’intérêt général.
Organisé et imaginé par les équipes de la Direction sûreté-sécurité, cyber & data protection d’Aéma Groupe et en partenariat avec le Club des Directeurs de Sécurité des Entreprises (la fédération professionnelle des directions de la sécurité des entreprises du CAC 40), l’Innovation Day a vocation à mettre en lumière les solutions les plus innovantes et audacieuses en matière de sécurité.
Pour cette première édition, Pascal Michard, président d’Aéma Groupe, Annick Rimlinger, directrice sûreté-sécurité, cyber & data protection Aéma Groupe et Anne Girond, directrice générale CDSE, ont convié celles et ceux qui réinventent les approches de sécurité grâce aux technologies d’intelligence artificielle.
Parmi eux, 8 startups (Sharekey, Hadrian, Open Sezam, Astran, Mindflow, Quevlar AI, Oneex et Tyrex) ont eu l’occasion de présenter leurs projets devant un public d’experts à l’écoute qui ont pris le temps d’interagir directement avec les porteurs de projet.
Pascal Michard a introduit l’événement en rappelant l’importance qu’accorde le groupe à la sécurité des biens et des personnes dans un environnement numérique en constante évolution. L’intelligence artificielle (IA) est devenue un outil incontournable pour les entreprises, offrant des possibilités infinies d’optimisation et de sécurisation. En intégrant des technologies d’IA dans leurs outils métiers, les entreprises peuvent non seulement renforcer leur sécurité, mais aussi améliorer leur efficacité opérationnelle et leur compétitivité sur le marché.
En tant qu’assureur mutualiste et membre de Cybermalveillance.gouv.fr, Aéma Groupe prend à bras le corps son rôle d’éclaireur de l’avenir de la protection. Un avenir qui requiert plus de prévention face aux risques émergents, et un usage responsable de l’innovation au service de notre sécurité.
L’événement qui a tenu toutes ses promesses, s’est clôturé par une séance d’échanges d’expériences et de savoir-faire entre tous les participants présents avec pour chacun l’espérance de reconduire cet événement pour une deuxième édition !